28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 18:45



Après avoir présenté Come See Me Tonight 2, il fallait bien que je parle du premier quand même \o/. Surtout que j'ai enfin compris la relation entre les deux jeux qui n'ont strictement rien avoir l'un avec l'autre tant du point de vue du scénario que des personnages, au minutieux détail près que, à chaque fois que le héros « a conquis » sa belle (sous entendu : dès que le héros l'a sauté), il la rejoint chaque soir pour une partie de jambes en l'air des plus romantiques. Eh oui, c'est ça le seul point commun entre CSMT et CSMT2... Fallait y penser...





Contrairement à ce que le menu principal pourrait laisser croire, il n'y a que très peu de yuri dans cet eroge (si coucher avec deux filles en même temps est considéré comme yuri...). Pas de bondage, pas de zoophilie, de scatophilie, de nécrophilie, ou autre horreur malsaine ici, ce qui est rassurant lorsqu'on n'est pas encore très habitué à ce genre d'extrême. Par contre, les lecteurs attentifs remarqueront que je n'ai pas encore parlé d'un des travers japonais en manière de hentai : l'inceste. La réponse est que cet eroge n'est constitué que d'inceste ou presque ! Ben voyons... Genre le monde se réduit à la parenté, genre sur les 7 milliards d'êtres humains sur la Terre faut forcément que le héros couche avec un membre de sa famille quoi ! Ici le héros est fils unique donc comme il n'a pas de soeurs sous la main, il va chercher du côté de ses cousines...logique.

Le début d'histoire est le suivant : le héros, Ryoichi Sakaki, dont je me fout complètement, découvre un jour en rentrant chez lui que ses parents se sont faits la malle pour « exaucer leurs rêves » (hahaha) et lui ont laissés un peu d'argent pour se débrouiller. Evidemment il n'est pas très jouasse de voir à quel point ses parents n'en ont rien à faire de lui, mais heureusement sa tante maternelle qu'il ne voit jamais par ce qu'elle est fâchée avec sa mère passe par là par un étrange concours de circonstances totalement fortuit. Atterrée, celle-ci, Chidori, lui propose de vivre chez elle avec ses trois filles. Evidemment le héros ne peut pas refuser, il est comme qui dirait un peu à la rue (ses parents ont dus vendre la maison entre-temps, si je me souviens bien). Chidori étant patronne d'un gentil petit restaurant, elle lui offre du même coup un job. Le héros hésite : il ne connaît rien à la cuisine et voudrais plutôt s'amuser à rien faire à l'école mais il finit par tenter le coup, histoire de savoir faire quelque chose de sa vie. L'histoire peut donc finir pour laisser place aux filles...mouhaha.

Donc le héros a le choix entre : sa tante Chidori, ses trois filles aux coiffures bizarres Misago, Tsugumi et Kobato et la petite serveuse que Chidori a recueilli et qu'elle considère comme sa fille, Hina. Il y a donc 5 possibilités plus les deux fins harem...et une seule qui ne finit pas en inceste, la route d'Hina. Non seulement le héros semble trouver normal la situation mais en plus il est poussé par Chidori à prendre femme parmi ses trois filles. Genre c'est normal... Genre votre tante vous ramasse dans la rue et vous propose de coucher avec vos cousines pour passer le temps... C'est pour ça que j'apprécie le hentai, les incohérences rendent ça fun, vraiment très fun...ou pas selon les horreurs que l'on trouve.



Donc en ce qui concerne le catalogue, le héros a donc comme première possibilité de sauter sa tante, Chidori.

C'est la femme mature du groupe, celle qui assure le quota expérience + boobs + kimono. Ah oui, j'avais oublié de préciser : elle est veuve et probablement en manque, d'où le fait qu'elle saute dans tous les sens du terme (sur) son neveu. Petit détail fun : elle avoue carrément au début de l'histoire avoir été amoureuse du père du héros mais avoir fait un magnifique epic fail à cause de sa soeur qui était aussi sur l'affaire, d'où le fait qu'elles se soient fâchées pendant des années, et aussi que le héros ressemble beaucoup à son père par ses bons côtés...avant de lui demander comment il aime les femmes et si les femmes « matures » ne le dérangent pas. Il va y avoir du sport, oh yeah.


Pourquoi fermer les yeux ? C'est simple, il a trop l'impression de coucher avec Misago lorsque Chidori a les cheveux détachés, le pauvre, et c'est une vision difficilement supportable.



Une autre possibilité est de jeter son dévolu sur « l'aînée des filles », enfin théoriquement l'aînée, Misago.

Misago a le visage rond d'un nouveau-né et aime les trucs choupi-kawai, ce qui est extrêmement négatif lorsque comme moi on l'imagine tapisser sa chambre de goodies Hello Kitty. Oh mon Dieu ! Sortez de ma tête les images, sortez ! Misago sait bien faire la cuisine, elle est la femme idéale tout en ayant un corps d'enfant et une coupe de cheveux tout à fait tragique qui ne souligne qu'encore plus son visage affreusement poupin.



Je n'aime pas Misago. Enfin pas son côté Hello Kitty fan, mais plutôt la soupière qui lui sert de perruque et sa frange, mon Dieu, sa frange ! Cela me rappelle la fois où je m'étais coupé les cheveux toute seule et où je m'étais magnifiquement rasé la frange (j'étais gosse aussi)... Sauf qu'elle on dirait que c'est fait exprès. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai toujours trouvé que les filles de cet eroge avaient des coupes étranges et la sienne plus que tout. Et quand Chidori détache ses cheveux, stupeur, c'est le portrait craché de Misago ! Enfin, pour les lolicons qui ne s'assument pas, Misago est un bon compromis.



La deuxième fille, Tsugumi, est une pseudo-tsundere.

Non seulement ses cheveux ont une forme plus qu'étrange (vous allez pas me dire que c'est naturel ça 0_0) mais en plus son visage se défigure totalement lorsqu'elle se met en colère. Et elle s'énerve tout le temps ;_ ;. Ce qui n'a pas manqué de me faire soupirer un nombre incalculable de fois pendant que je finissais sa route par ce qu'elle peut être tellement plus jolie en souriant.

Elle passe son temps à te hurler dessus pour que tu bosses plus vite...Sinon Tsugumi est assez attachante dans son genre, le fait qu'elle soit imparfaite, souffre de ses défauts et de l'exigence que sa mère a pour elle et qu'elle jalouse sa soeur font qu'elle ressemble à n'importe quelle adolescente, et ça, ça aide beaucoup à l'identification.



La troisième fille est 100% loli \o/.

Avouez que ça manquait quand même ! Donc Kobato est une adorable fillette...presque du même âge que le héros bien sûr. Oh non, bien sûr que non, elle n'a pas les 10 ans qu'elle fait. Elle ne peut être que plus âgée...et ressembler à une gamine de 10 ans. Ah, et elle adore les strings et les nekomimis le vin français aussi.


Genre t'as l'impression de te taper ta petite soeur à travers elle... Brr. Kobato est TRES entreprenante pour une fillette.


Très entreprenante, vous disais-je...

Sa technique de drague est simple mais efficace : elle amène le héros dans un motel lors qu'ils sortent se promener et se met à pleurnicher par ce qu'elle désire être vue comme une femme avant de vraiment se le faire en revenant au motel. Terriblement efficace. Oh mon Dieu, je viens virtuellement de me taper une gamine de 10 ans ! Oh mon Dieu ce jeu est vraiment soft par rapport à d'autres, j'aurais pu me taper virtuellement une fillette qui en faisait 4 et la mettre enceinte ! Les japonais sont fous... Mais au fond Kobato est mignonne quand même alors on leur pardonne facilement, pour cette fois en tout cas.



Maintenant qu'on a éculé tous les stéréotypes, il n'en reste plus qu'une, la gentille fille cruche, alias Hina.

Elle avait beau être la seule fille « légalement abordable », je dois dire qu'elle est bof quand même. Une gentille fille serviable et tout ça...mais elle est cruche, trop cruche, trop maladroite. Je l'aime bien quand même mais c'est un peu rebutant au début (à moins d'être maniaque des filles timides et maladroites). Ah si, dans une scène bonus, elle a des lunettes, pour ceux que ça intéresse ! Et elle est vraiment moe en kimono.



Jusque là, tout va bien, mais c'était sans compter les fins harem. Il y a deux fins harem : celle où le héros se tape les trois soeurs et celle où il se tape tout le monde (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué). Bon, la fin avec les trois soeurs, c'est d'un basique quand même, TOUS les héros se font bien plus que trois filles à la fois, mince quoi un peu d'originalité pour changer !


A table et pas de quartier ! C'est MON morceau de viande !

Sérieusement il n'y a rien à dire de plus, sinon que ce sont des soeur fort partageuses et que je ne suis pas sûre que partout on puisse trouver trois soeurs amoureuses du même mec et acceptant de coucher toutes ensemble avec lui sans jamais se crêper le chignon. Surtout que dans les trois y a Kobato quoi. Imaginez partager votre copain/copine avec votre petite soeur de 10 ans...ça craint quand même. Loli power ! La deuxième fin est toujours aussi basique puisque après s'être fait les trois soeurs, celles-ci viennent lui demander d'inclure Hina dans le harem, par ce que qu'elles ont un peu pitié probablement, et que mince quoi, trois c'est pas assez pour un seul homme. Ce à quoi Chidori répond que depuis le temps qu'elle est en manque et qu'elle rêve de se taper le père du héros, elle ne va pas laisser les autres s'amuser sans elle ! Et décide de présider la troupe et d'instaurer des Harem Days. Logique. C'est pour ça que j'aime le hentai !


Note : cette image a été coupée par mes soins au bon endroit au bon moment. Pour ceux qui seraient intéressés par ce que montrent Chidori et Kobato, finissez le jeu.



Par rapport à Come See Me Tonight mon avis sera plutôt mitigé. Disons que j'apprécie les eroges raisonnables et que c'est le cas de CSMT XD. Points positifs : un jeu accessible, une histoire stupide mais sympathique à suivre (voir un mec apprendre à cuisiner ça peut être fun, surtout quand on voit à quoi sert le four  :D ), des personnages potables (même si je pousse un cri d'effroi en voyant les cheveux), une musique pas trop moche mais pas transcendantale non plus, prévoyez votre propre musique, ce sera mieux quand même.
Le point négatif sera surtout le rythme : avant de parvenir à la première scène H, va falloir être patient XD ! Ceux qui ont trouvés Come See Me Tonight 2 lent risquent fort de ne pas aimer le premier volet puisque la première partie du jeu consiste en une tartine de texte inutile qui alourdit beaucoup, ce qui est dommage. Et puis, je ne veux pas faire comme si j'étais un machiste (étrange pour une fille quand même) mais la cuisine c'est un thème assez barbant quand même et les différents retournements de situation (par ce qu'il y en a) sont aussi passionnants que mes dialogues imaginaires avec mon peigne. Et pas de bad end ou presque ; ça manque quand même. Genre on est obligé de récupérer au moins une femme à la fin, pas d'epic fail retentissant, même pas de possibilité d'être humain en fait, on ne peut que réussir (le héros doit se parfumer au Axe Touch c'est pas possible). Et puis les personnages proposés ne sont en eux-mêmes pas assez intéressants pour être retenus. Un autre point noir est qu'à chaque fois que le héros embrasse une fille ou couche avec elle l'image qui reste les ¾ du temps à l'écran est celle de sa tête avec différentes expressions. Et coucher avec une tête c'est glauque. En plus ce sont toujours les mêmes CGs qui passent en boucle, il n'y a que le texte qui change.

En conclusion un jeu sympathique qui comblera des heures de vide sans problème et sans prise de tête pour ceux qui ont du temps à perdre et un jeu vite oublié. Je le trouve légèrement inférieur à Come See Me Tonight 2 peut être par ce que les uniformes de serveuses sont moins sexys que les mikos !
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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 23:56
Article sans images choquantes mais déconseillé aux plus jeunes par acquis de conscience




Il est tard le soir, c'est le moment idéal pour confirmer à quel point je suis tarée avec un article bien lourd bourré d'images et de choses pas très, très culturelles mais qui font aussi parties de ce qu'on trouve au Japon...




Uh-uh, ça y est, j'ai franchi la ligne rouge, me voilà dans le no man's land du H, territoire hostile où tout est permis. Et le pire c'est que je n'ai même pas honte XD. Alors pour y aller en douceur, j'ai décidé de commencer par un eroge « soft » (c'est presque un oxymore me direz-vous) où il n'y a ni scène de torture, ni bondage, ni inceste, mais un peu de  Pedobear par ce que bon, c'est un eroge quoi, et tout bon eroge a un pourcentage de représentantes lolis à fournir, mince quoi on est au XXIe siècle, pas de racisme, les lolis ont le droit d'être représentées en masse elles aussi (ceci est aussi valable pour 70% des animes). Donc voilà Come See Me Tonight 2. Pourquoi tu ne parles pas du premier avant celui-là me demanderez-vous ? Et je répondrai que je commence par le 2 si je veux d'abord !



Alors pour commencer les trois phrases qui servent de scénario.

Kensuke Tsukikage, le héros stéréotypé et méga looser propre à chaque harem, va succéder à son grand-père afin de diriger le temple Tsukikage et devenir prêtre. Mais pour cela il lui faut accomplir une cérémonie de danse particulière impliquant un être de sexe féminin (c'est moins drôle de danser seul apparemment) et qui se déroule, si j'ai bien compris, tous les ans ; en effet pour que la cérémonie se déroule selon la tradition le prêtre doit coucher avec la princesse du temple devant Dieu. Petit problème : il y a quatre candidates qui, oh quel hasard, sont prêtes à n'importe quoi pour réaliser leur rêve et devenir princesse (donc épouser le prêtre, vous me suivez), le « pauvre » Kensuke va donc devoir choisir entre quatre bombasses qui en veulent toutes à son petit corps de shota ; choisir...ou pas (eh oui il existe une fin harem où le héros, croulant sous les dilemmes se résout à coucher avec les quatre en même temps, ben voyons, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué).

Je crois que ça y est, j'ai tout dit. Un scénario fort peu original mais bon, ce n'est pas ça qu'on demande à un eroge quoi. Et puis, vous l'aurez compris, y a que des mikos et ça c'est cool \o/ !

Passons donc aux différents personnages et aux différentes routes (sans spoiler...quoi que y a rien à spoiler). Je ne parlerai pas du héros, on s'en fout un peu, de toutes façons on le voit presque jamais et quand on le voit on a envie qu'il continue à ne pas se placer devant l'écran, et puis bon, c'est un héros de harem comme il se doit : looser (sauf si on prend en compte le fait qu'il se fasse un paquet de filles en étant shota, je sais je me contredis) et pervers.

Premier personnage que je vais décrire, le personnage le plus secondaire (par ce que j'ai envie d'abord) : le grand-père. Pourquoi le grand-père ? Pour ça.


Ou ça.

Va savoir. En fait il n'y a rien d'autre à dire sur lui, juste que c'est un pervers et qu'il peut être fun des fois...des fois.



Bon, passons aux filles, par ce que avouez que c'est un peu le but d'un eroge que de se faire une fille *virtuellement*.


Et évidemment, je ne peux pas commencer par autre chose que par la loli de service, Koruri de son petit nom. Koruri est une loli.

Snif, snif, Kensuke c'est horrible, je me suis cassé un ongle, je ne pourrai plus jamais être la princesse du temple


Koruri aime faire la cuisine .

Le féminisme n'a jamais existé. Femme connaît ta place, retourne à la cuisine et fais moi à bouffer, j'ai la dalle. O...oui...m...maître.


Koruri aime nettoyer le sol, Koruri est une poupée Barbie made in japan, c'est simple l'essayer c'est l'adopter. Bon j'avoue, je n'aime pas trop Koruri. Je veux dire, elle a du potentiel, de longs cheveux noirs, des yeux bleus envoûtants, toussa, mais c'est une loli, et j'aime pas les lolis en général. J'ai quand même « testé » Koruri pour voir un peu ce que sa route donnait et en fait, elle est super chiante.

Oh, mon Dieu, sauve moi Kensuke, mon prince, je ne pourrais jamais y arriver toute seule, je ne suis bonne qu'à te ramener à manger tu le sais bien.


Au début ça peut encore aller, mais au bout d'un moment elle devient une vraie matronne tyrannique...avant de retourne à sa place de gentil petit objet sexuel.

Et maintenant Koruri la magicienne va faire disparaître sa culotte sans utiliser ses mains, yahou. C'est avec ce genre d'images que j'ai la désagréable impression de me taper une gamine de 12 ans...


Bref, pas mon perso préféré. Même s'il lui arrive d'être belle...





Ensuite il y a Minami. Minami c'est la prof du héros, et donc la seule femme « mature » du groupe (sous entendu : la seule à ne pas être vierge et à supporter la majorité du quota oppai attribué à l'ensemble des filles.

Nouveau en magasin : le radiateur  à gros poumons révolutionnaire, concentré sur la chaleur humaine, poupée gonflable vendue séparément).


Chose étrange, il semblerait qu'elle ait hérité d'un début de psychologie assez intéressant. Enfin, je vous rassure, ce n'est pas vraiment très développé.

Mais pourquoi pleure-t-elle ?


Et puis de Minami on retiendra surtout qu'elle boit beaucoup de sake (comme Misato dans Evangelion) et que quand elle est bourrée, elle aime pincer les seins de Koruri. Wow, je crois que la psychologie est partie en fumée d'un coup là. Enfin, moi j'aime bien Minami...

Yes, I do.





La troisième haremette se nomme Nanao et elle est l'amie d'enfance du héros (sous-entendu : amoureuse de lui depuis des lustres et il ne s'en est jamais rendu compte).



Nanao est assez marrante par ce qu'elle part toujours dans ses fantaisies, du coup on la voit souvent avec un sourire bizarre en train de ricaner, sans savoir pourquoi.


 
J'aime bien ce genre de filles un peu rêveuse et assez mature. Par contre elle a des goûts douteux en ce qui concerne les pyjamas...



Vraiment... Et puis son uniforme est vraiment moche, heureusement on ne le voit pas trop...





La dernière des prétendantes s'appelle Sheena (à chaque fois ça me fait penser à une fille sauvage genre Tarzan et Sheena dans la jungle) et c'est aussi une amie d'enfance du héros (même sous-entendu que précédent donc).



Sauf qu'elle, elle n'est pas vraiment la fille prévenante et douce qu'est Nanao. En fait Sheena c'est une pseudo-tsundere de mes deux, une vraie chieuse. Et pis de toutes façons d'emblée déjà je ne pouvais pas l'aimer. Par ce qu'elle a des cheveux roses. Et je n'aime pas les filles aux cheveux roses ...même s'il y a des exceptions.
Sheena c'est une caricature de ce que serait Haruhi Suzumiya dans un eroge, sans son aura de déesse, sans Kyon, sans sa psychologie particulière, et avec un serre-tête affreux genre Minnie Mouse. Donc bof...Quoi que Sheena a une qualité : elle n'aime pas les magazines pornos et s'offre de remplacer les modèles de papier à tout ceux qui n'ont pas compris combien les filles étaient géniales...huhu, intéressant...




La seule image de Sheena que je trouve belle.



Le principe de Come See Me Tonight 2 est simple. Le héros fait quelques choix pour gagner l'adhésion de la belle qu'il convoite durant la première partie du jeu et a le droit à ce magnifique écran à intervalles réguliers (le principe étant de toujours choisir la même fille à chaque tableau sinon c'est l'epic fail...ou la fin harem mais pour ça il faut débloquer toutes les filles d'abord).



Ensuite le héro couche avec sa belle et commence une joyeuse vie de couple et toutes les questions suivantes serviront principalement à débloquer des CGs et des scènes H supplémentaires. Et voilà. Simple mais efficace.

En conclusion :
Personnellement, Come See Me Tonight a été mon premier eroge, donc bon, il y a comme un lien affectif qui se noue (ironie inside). Mon avis sera donc plutôt gentil (ça c'est par ce que je n'ai pas encore beaucoup d'eroges à mon actif et que le peu que j'ai vu est bien plus trash).

  • Les points positifs de CSMT2 sont que c'est un jeu relativement soft, donc assez accessible à ceux qui veulent essayer un eroge pour la première fois (le héros couche avec sa dulcinée « normalement », l'absence d'objets divers et étranges se fait donc agréable), les héroïnes ne sont pas toutes complètement Pedobear et il n'y a pas d'inceste non plus. Bref une histoire dans le domaine de l'acceptable qui suit son cours tranquillement.
  • Les points négatifs sont que CSMT2 est assez plat de ce fait et que les embranchements sont très limités : il n'y a que 5 fins possibles et elles sont toutes des happy ends. De plus les questions et les dialogues lents de la première partie du jeu peuvent décourager les impatients (Moi attendre ? Et puis quoi encore ! Je veux ma scène H et je la veux tout de suite !). Et puis la musique ! Au bout d'un moment elle tape sur les nerfs, surtout que c'est la même qui passe en boucle ou presque. Autant écouter sa propre musique par-dessus, c'est bien mieux. En résumé, rien de transcendant mais un jeu assez rapide à finir qui se laisse suivre.


Pour finir, une image. Qui a la classe. Et qui donne envie de jouer plus à des eroges ^_^.

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