Nous voilà donc arrivé au moment de la REVELATION qui va bouleverser vos petites existences insignifiantes et entraîner la fin du monde…ou pas. Bon, pour décrire un peu le truc, je vais commencer par tout expliquer par le début, ça sera plus simple (non par ce que commencer par la fin…).
Premières idées
Remontons dans le temps. Il y a environ un an donc, je me suis décidée à créer ce blog à partir de motivations personnelles en me disant que si j’en faisais un, c’était pas pour l’abandonner au bout de trois jours et qu’il fallait que je m’implique sérieusement dedans. Alors j’ai voulu faire les choses en grand et j’ai réfléchis à pleins de trucs complètement loufoques que même sous ecstasy, vous n’y aurez pas pensé X). Et puis il m’est venu une obsession : Je veux une mascotte moe ! Vous avez vu le résultat… Sauf que, comme je suis le genre de filles qui aiment se torturer la cervelle jusqu’à plus soif, je me suis un peu remise en question là-dessus en me demandant qu’est-ce que j’allais pouvoir faire d’une putain de mascotte alors que je n’ai même pas le temps de dessiner et qu’honnêtement à part faire joli… Bref, j’ai réfléchis (je sais très bien le faire ça réfléchir =D) et je me suis dis « Oh, et si je faisais d’elle l’héroïne d’un truc, genre un jeu, un…UN VISUAL NOVEL ! ». Et c’est là que tout a commencé. Je suis partie sur l’idée de faire un délire, une sorte de parodie, avec le héros looser lambda vivant dans une ferme et qu’il devait choisir entre 4 vaches stéréotypées (dont Miruku) et Kurumi (par ce qu’à l’époque je l’avais aussi imaginé, puis je me suis dis que j’allais la garder sous le coude par ce que deux mascottes d’un coup c’était un peu too much) avec pleins de références d’otakus et tout. Au début c’était ça. J’avais rangé le projet farfelu dans un coin de ma tête en me disant qu’on verrait plus tard et de temps en temps j’essayais d’avancer un peu, par ce que le temps que tout ça se réalise, autant avoir les bases déjà toutes prêtes. Sauf que, il y avait un problème, un gros problème. Sur les 4 vaches, il y en avait une qui était ma Némésis (loli hyperactive + cheveux roses = Fail), donc que je ne pouvais pas piffrer, une dont je n’avais rien à foutre et mes deux préférées. Et le scénario restait au point mort. J’ai vite compris que ça ne pouvait pas aboutir comme ça. Alors que faire ?
Transition
Pour pouvoir m’attacher aux personnages, et ça n’a rien de sorcier, il fallait qu’ils me ressemblent un peu sur certains côtés, que je puisse m’y identifier, alors j’ai changé quelques trucs (le chara design de la loli aux cheveux roses par exemple) et j’ai pris des bouts de ma personnalité pour leur en donner à chacune (et c’est là qu’on voit que c’est méga pratique d’être une fille compliquée par ce que rien qu’avec ma personnalité je peux faire plus d’une vingtaine de personnages différents, joie, extase =D). Du coup, eh bien, impossible de les voir comme des stéréotypes dorénavant. Et le scénario bloquait, bloquait. Je me suis dis qu’il manquait encore quelque chose : la capacité d’évoluer. Un stéréotype reste figé, un « personnage » peut changer. Et pour qu’il y ait évolution, il faut jouer sur le temps. Chacune a donc écopé d’un passé, et de certains tics, de mimiques, de possibilités (notamment au niveau des fins). Mais ce n’était pas suffisant, il y avait toujours quelque chose qui clochait. Je commençais à désespérer un peu, nous arrivions en juin (donc depuis février ça n’avait pas des masses évolué) lorsqu’un évènement inattendu va me permettre de tout repenser.
Inattendu et effets secondaires
Vous n’allez pas me croire, ou me traiter de fille stupide, mais l’évènement en question c’est le projet de la blogosphère de faire aussi un visual novel, le projet Sebaden. Eh ben, ça n’a l’air de rien comme ça mais ma première réaction aura été de me dire « Et merde… » XD. J’avais jamais pensé que d’autres auraient pu avoir la même idée et je me sentais un peu con par ce que forcément, à dix ou vingt personnes ça avance plus vite que quand on est une seule fille et complètement débordée de surcroît (vive la prépa). En plus je me suis dis que si j’annonçais mon projet maintenant, je passerai pour une copieuse, un mouton ou je ne sais quoi, je me sentais donc complètement décrédibilisée. Après un fort moment de découragement, je me suis quand même intéressée à ce qu’ils faisaient par ce que je suis d’un naturel curieux et que ça m’avait l’air fort intéressant (c’était un peu mon lot de consolation, d’ailleurs je continuerai à suivre ce qu’ils font hein, comme je continue d’attendre avec impatience la version complète de Katawa Shoujo ou de zieuter Ilchan Eroge ) et là ce fut une putain de révélation. Grâce à leur soutien involontaire, j’ai compris tout ce que je ne voulais pas faire XD. Eh oui, ça parait complètement aberrant, voire pas gentil (ce qui n’est pas le cas du tout) dit comme ça, mais jusqu’alors je m’étais en quelque sorte forcée à rentrer dans un cadre, un moule. Le projet initial constituait à totalement laisser de côté mon style d’écriture habituel (par ce que, vous n’êtes pas sensés le savoir, à moins d’être des stalkers de haut niveau, mais j’écris en parallèle), à se concentrer uniquement sur du « léger » sans prétention et des références otaks. Mais moi je ne suis pas comme ça, j’ai ma manière de faire les choses, je privilégie l’ironie/humour noir aux jeux de mots et autres blagounettes (ce qui n’empêche pas d’être léger), j’aime bien quand ça part aussi dans le tragique parfois (par ce que je suis faible et que je pleure devant Kanon :3), quand y a de la réflexion derrière, des trucs psychologiques, de l’ACTION (mais en VN c’est un peu fail à représenter mais c’pas grave, ça vous situe l’état d’esprit), du sang, des pétages de câble, du WTF à foison MAIS avec une sorte de logique derrière comme si chaque délire était soigneusement expliqué dans un système à la fois rationnel et constitué de délires ordonnés (ce qui fait que je ne suis pas tout à fait pro-Sunrise vu les absurdités qu’ils peuvent faire dans leurs animes, tu regardes un anime Sunrise tu sais que tout est possible quoi, le meilleur comme le pire, le beau comme le grotesque). Bref, je suis moi et me forcer à m’adapter à quelque chose d’autre était douloureux alors, une fois que j’ai pris conscience du problème, j’ai renversé la vapeur.
On a toujours une histoire avec un mec et des vaches mais pas mal de choses ont changées. Par exemple le fanservice. Je comptais en mettre des tonnes (par ce que, ça peut vous paraître bizarre mais j’aime bien le fanservice quand il est pas trop écoeurant, pas du genre Platonic Heart, Queen’s Blade ou Kiss X Sis quoi) et au final j’ai fini par me dire que des animes fanservice il y en avait des tas chaque année et que si c’était pour faire pareil en amateur il n’y avait pas d’intérêt, du coup la dose de fanservice a été réduite le plus possible afin de ne conserver que le côté utile de la chose (disparition de scènes onsen/maillot de bain et autres phases de karaoké d’un cliché à tout épreuve). Bon par contre j’ai gardé mes fétiches préférés par ce que. Merde c’est moi qui fait tout le boulot autant conserver quelques menus plaisirs comme…le zettai ryouiki :3. Je vais pas vous faire une liste, ça gâcherait le suspens XD. Une autre chose qui a changé c’est le côté « intertextuel ». En gros il y aura toujours des références mais non seulement elles seront plus discrètes mais elles s’étendront aussi à d’autres supports (dont le dessin animé lambda puisque j’ai été lobotomisée depuis ma tendre enfance et que je ne regarde jamais de films ou presque). Mon idée est que quelqu’un qui s’y connaît pas trop en japanime comprenne et s’amuse un tantinet sans avoir l’impression d’être devant du Seitokai no Ichizon (qui est pour moi un symbole même de l’otakisme actuel puisque ça balance des références mal ordonnées toutes les minutes au risque de faire trépasser les pauvres âmes à la cervelle fragile comme moi…Syndrome Lucky Star donc). Autre changement de taille : le héros. Pour quelqu’un comme moi qui crache devant la platitude des héros de harem pervers et méga looser accompagné du « meilleur ami encore plus pervers et plus looser » c’était quand même un comble que de faire du personnage centrale une absence de personnalité. Du coup, je ne sais pas si c’est vraiment réussi, mais j’ai voulu quand même lui ajouter un peu de caractère…et de cynisme. Par ce qu’un héros cynique c’est toujours plus cool.
Le renouveau
Après cette révélation, j’ai eu malheureusement fort à faire puisque mes vacances auront été assez courtes et que j’avais vraiment besoin de récupérer. A noter que trois nouveaux personnages avaient depuis fait irruption dans mon esprit et qui dit nouveaux personnages principaux dit nouvelles routes à écrire donc plus de travail \o/. Et à la rentrée scolaire ça a juste été l’explosion. D’un côté mes cours étaient tellement chiants, je subissais une telle pression (travail, travail, blablabla, travail, travail, travail, blablabla), et de l’autre mon imagination débridée ayant enfin été lancée en terrain favorable, que tous les éléments se sont combinés et PAF, ça fait des Chocapics. Bon pas des Chocapics en fait mais un déferlement d’idées en continu, ce qui faisait que je me levais le matin, je me rendormais (comme d’habitude), je me re-relevais pour de bon, j’allais attendre dans le couloir tout en commençant à penser à un certain point de l’histoire qui mériterait d’être développé, je passais quatre heures de suite à gribouiller des chara-design approximatifs (mais qui m’évoquent tant de choses) sur mon cahier en lieu et place de cours, de cogiter toute la pause du midi en mangeant en me disant que tel truc serait mieux qu’un autre, pis encore quelques heures de gribouillage sur mon cahier (quelques fois de textes imagés histoire de changer un peu) pis rebelote niveau cogitation au repas du soir, mes heures de travail tournaient au calvaire par ce que je devais lutter contre mon esprit pour qu’il arrête de penser à ça (qu’il y avait un peu deux dissertations et une version en attente), et même le soir quand je me couchais fatiguée mais contente de pouvoir dormir, ce connard de cerveau s’excitait tout seul sur trente six mille idées, même que je lui criais de la fermer et qu’il voulait pas =(. On peut dire que ça a tourné à l’obsession oui. Mais c’est pas le pire puisqu’il m’est arrivé de vouloir chercher sur Internet le blog de développement du projet pour voir si il avançait, ce qui est bien sûr IMPOSSIBLE puisque c’est moi qui m’en occupe. Je tourne folle <___<. Bref, mon imagination bridée par la prépa se révoltait clairement de manière indirecte en m’en faisant baver. Mais du coup il y avait un tel enthousiasme, une telle envie d’avancer que ce projet est devenu super important pour moi et qu’il est dorénavant hors de question de le lâcher. Donc voilà, ça fait depuis septembre que je suis à fond sur le scénario et je compte avancer par étapes. Quand le scénario sera net et propre dans les moindres détails, je m’occuperai des graphismes (ce qui risque de prendre un peu plus de temps puisque deux ans de prépa m’ont complètement fait oublié comment dessiner alors déjà que j’étais pas si douée que ça avant…), puis de la musique.
Petite parenthèse mais niveau musique je compte en utiliser des déjà existantes pour deux raison : la première par ce que je sais autant composer et jouer un morceau qu’un manchot jouer à la pelote basque et la dernière par ce que je passe mon temps à écouter des musiques d’ambiance et que je n’arrive pas à voir quelque chose de plus approprié. Du coup si vous vous y connaissez un peu niveau copyright je ne suis pas contre quelques informations; autant savoir ce qui est interdit et ce qui ne l’est pas. Je compte évidemment détailler l’origine de chaque piste dans les crédits de fin pour préciser que je ne fais qu’emprunter mais il y a peut être autre chose à faire que j’ignore.
Bref après musique et bruitages (là aussi ça risque d’être long), viendra la programmation et le mixage. La phase finale étant la relecture et je compte bien monopoliser quelques cobayes inconscients comme bêta-testeurs =D. L’ennui, vous l’aurez deviné, c’est que comme je suis toute seule, tout ceci va prendre un temps relativement imposant.
Wait, there is more ?
Dans l’immédiat je sais que j’en ai au moins pour un ou deux ans en travaillant à fond, mais, et ça vous ne le savez pas non plus, dans mon hystérie productive j’ai récolté tellement de matière que je ne compte pas m’arrêter là. J’ai assez pour faire deux suites, oui, deux putains de suite. Le projet Milk risque donc fort d’être une trilogie et je peux dors et déjà faire une croix sur les cinq prochaines années de ma vie. Il faut être sacrément passionnée pour arriver à un tel truc, et je vous garantis que je ne fais pas ça pour l’argent, la gloire ou les filles garçons faciles.
Comme ce sera une trilogie j’ai décidé d’adopter un schéma double : d’un côté chaque jeu développera son histoire/ses histoires (je pense notamment au second volet qui ne se réduira pas à un seul récit), et de l’autre il y aura un liant, une autre histoire bien plus vaste qui s’étendra sur les trois opus. Pour construire tout cela, il va me falloir beaucoup de temps et de motivation…
Je ne sais pas si ça vous intéresse vraiment après tout mais tant qu’on est dans le déballage, la prostitution même, d’informations, autant y aller à fond. J’ai assez de matière pour faire trois jeux mais aussi pour leur inventer un background farfelu. En gros, le récit aura lieu dans une sorte de monde parallèle dans lequel tout est exactement comme aujourd’hui mis à part le fait que les vaches soient semi humaines et l’existence d’un nouveau continent (je me suis donc cassée la tête à inventer de nouveaux pays avec de nouvelles cultures, de nouvelles relations géo-stratégiques, un nouveau passé). Accessoirement des extraterrestres risquent de se balader dans le coin (petite déviance vers la SF). Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, hein ? C’est vrai, situer l’histoire dans un pays déjà existant était vraiment trop simple, autant y aller franchement et recréer l’univers tout entier, c’est bien plus rapide 0_o…
Pour ce qui est du synopsis, hum, je vais encore rester très floue histoire de laisser planer le suspens. Si vous voulez, je peux d’ors et déjà vous balancez un fragment que j’ai écris, là comme ça, sur le vif, et qui vous donnera une idée de mon style d’écriture (et en musique s'il vous plaît). Le passage en question est mélancolique mais toute l’histoire ne sera pas comme ça, hein =O :
Musique qui m’a inspiré ce fragment et qui risque fort de défiler pendant cette scène :
Yasougetsuda [Gouttes de lune – Nocturne]
Des gouttes de lune, des gouttes de lune à foison. L’élixir nocturne qui glisse le long de la fenêtre avec clarté. Larmes de la lune qui coulent, qui coulent, telles des perles scintillantes. Le froid, la chaleur. Tout s’emmêle et se mélange, je voudrais tant, ô rien qu’une fois, fermer les yeux et me laisser emporter par le courant, fermer les yeux et couler, couler à l’infini dans cette bulle de lumière, si rassurante, si éphémère. J’ai tellement peur de la perdre, tellement peur de me perdre. Les pleurs des violons, lointaine plainte, mon avenir perdu reviendrait-il ? Je pense à toi, je pense à toi sans cesse. Lorsque j’ouvre les yeux tu es la première à m’habiter, la dernière à te retirer. Je me croyais libre, et je veux encore me croire libre. Je veux encore me dire que je peux détourner mon regard et faire comme si rien ne s’était passé. Non, rien ne s’est passé. Tous ces souvenirs, ces souvenirs en rafale, ils n’existent pas. Je suis seul, je ne peux être autre chose que seul. Cependant…cependant…j’ai peur. J’ai peur d’être seul. Allongé dans mon lit, lorsque la nuit tombe, fantômes de tous les temps viennent me hanter : le poids du passé, de ces cons de souvenirs qui ne s’effacent jamais, ce présent insupportable flottant dans le vide et l’avenir, l’avenir, toujours absent, toujours dangereusement absent. Il m’a longtemps suffit de me boucher les oreilles pour ne plus les entendre, ils revenaient toujours, inlassablement. Mais désormais, dès que je pense à toi, le sifflement désagréable, cette angoisse sourde, tout juste enterrée sous la surface de ma peau disparaît. Je n’avais jamais pensé que ça pouvait être si facile. Disparaître. La magie existe-t-elle ? C’est absurde, mais quand je suis avec toi, il suffit que je le désire et tout devient possible. Le meilleur comme le pire, la haine et l’amer, le sourire tombant en poussières, le sourire qui survole toutes les barrières que j’avais construite, toutes les barrières qui me protégeaient d’un monde que je n’avais pas voulu. Elles étaient pourtant si solides, elles auraient pu exister toujours. Mais tu étais là, à frapper contre la porte avec insistance. Je voulais te laisser entrer je crois, peut être pas au début mais tu avais fini par me convaincre, tu avais fini par faire naître en moi l’espoir infime d’avoir trouvé ma raison d’être, alors je l’ai voulu, de toutes mes forces même, j’aurais pu te laisser entrer à ce moment là. J’aurais pu. Mais moi, je suis un lâche. Je n’ai pas le courage de vivre, pas le courage de mourir, pas le courage d’aimer. Les choses se passent sans moi parce que je n’ai pas le courage d’interférer, je n’ai pas le courage d’exister par moi-même. Quand je ne le pensais pas c’était facile, ce n’était qu’un jeu. Maintenant je suis pris à mon propre piège. J’ai voulu gagner une guerre sans répandre la moindre goutte de sang, j’ai voulu grimper en haut d’une montagne sans voir le ciel, j’ai voulu gagner ton amour sans engager le mien, j’ai voulu gagner sans me préparer à la défaite, j’ai voulu t’embrasser sans goûter tes larmes. Je suis fichu, je suis foutu, je suis amoureux. Et pourtant, je n’ai toujours pas le courage de dire « Je t’aime »…
Mer il est fou
Bon, on n’en est pas encore là mais je préfère faire les choses en avance, histoire d’y aller doucement. Pour ce qui est du recrutement (si des volontaires veulent filer un coup de main), j’y pense déjà mais j’en reparlerai beaucoup plus tard puisque tant que je n’aurais pas finalisé au moins les ¾ du scénario de toutes façons, je suis coincée.
Sinon que dire de plus ? Je crois avoir mentionné le plus important. Je donnerai de toutes façons régulièrement des nouvelles sur le projet sur Twitter et puis sur un blog spécial que je compte bientôt crée, et peut être même publier environ tous les mois, une planche de chara-design, des infos supplémentaires ou des trailers (mais là va falloir attendre encore un peu). Voilà, voilà. Si vous avez des suggestions techniques ou des questions, je vous écoute.
P.S : au départ je comptais poster les premières planches de chara-design mais faute de temps et de motivation, je réserve ça pour plus tard.